Diffusion Sélective de l'Information

Du 28 mai au 10 juin 2018

       Veille Technologique:

• Mini Green Power, la centrale modulable 

Les centrales Mini Green Power fonctionnent grâce à un procédé breveté : la pyro-gazéification avec combustion étagée. La chaleur est récupérée par une chaudière et est soit utilisée directement soit transformée, grâce à des modules dédiés, en électricité, en froid ou en biomasse vertes (plaquettes, granulés…).  Cliquez ici »

• Récupération et valorisation énergétique des eaux usées

L’unité ERS récupère la chaleur des eaux usées. Les calories captées dans les canalisations sont transférées dans un ballon de stockage d’eau chaude sanitaire via une pompe à chaleur. Cette chaleur est réutilisée pour produire de l’eau chaude sanitaire. La technologie ERS est performante pour réduire la consommation énergétique des bâtiments. Elle s’associe parfaitement à d’autres sources d’énergies renouvelables telles que le solaire thermique, photovoltaïque, chauffage urbain ou géothermique.  Cliquez ici »

• Un centre de pilotage intelligent de gestion et de valorisation des déchets.

Mise en place d'un centre de gestion et de valorisation des déchets où l’outil informatique offre une information en temps réel, ce qui permet d’optimiser substantiellement les tournées de ses poids-lourds. Cliquez ici »

 

         Lecture Recommandée:

• Analyseurs de phosphates: déphosphater les eaux usées: Quand, pourquoi et comment?  Par Jacques-Olivier Baruch, Technoscope.

Extraits:«... Trop de phosphates entrent encore dans les stations d’épuration malgré une diminution notable des quantités utilisées. Que ce soit pour surveiller leur teneur ou tenter de les enlever, les analyseurs de phosphates sont l’outil indispensable.

Du phosphore, on en retrouve sous toutes formes dans l'eau potable, les rivières et les eaux usées. Ce sont surtout des sels de phosphore, des phosphates et des ions phosphates, les orthophosphates. Leurs origines principales sont toujours les mêmes: les déjections humaines et animales, ainsi que les engrais agricoles. En France, les détergents ménagers ne doivent plus en contenir depuis le 1er juillet 2007, depuis fin 2012 pour les détergents industriels, et depuis 2015 pour les détergents de lave-vaisselle. Résultat, les rejets s'améliorent lentement. Selon les données 2016 du Commissariat général au développement durable, les teneurs en phosphates dans les cours d'eau ont nettement diminuée depuis vingt ans (-63% d'orthophosphates en 2013 par rapport à 1998), grâce, notamment, à l'amélioration du traitement des eaux usées urbaines, à la réduction des teneurs en phosphates des lessives, et à la baisse sensible de l'utilisation des engrais phosphatés...

En raison du risque pour les eaux de surface, la directive européenne 91/271CEE fixe des limites pour le déversement de composés phosphatés dans les cours d'eau récepteurs. Selon la taille des stations d'épuration, ces seuils pour le phosphore total sont de 2 mg/l (10.000-100.000 équivalents-habitants, EH) ou de 1mg/l (100.000EH). Il faut donc "déphosphater" les eaux usées. Déphosphater les eaux usées Cela passe par une précipitation dans les bassins d'aération. Mais avant, il faut surveiller régulièrement la teneur de ces eaux en phosphates. Les analyseurs sont conçus pour cela ...»- In: L'eau, l'industrie, les nuisances, N°406, novembre 2017, pp.43-50.

 

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